FLAASH, C’EST QUOI ?
Une revue papier où la réalité rejoint la fiction. Trimestriel d'ouverture, indépendant et prospectif, FLAASH vous transporte dans le futur via une approche culturelle et technique et à travers des contenus exclusifs : articles et essais, récits d'anticipation, entretiens, chroniques, recommandations, illustrés, portfolios, travaux de recherche, BD en série et double page regroupant l'ensemble des références citées.
Une revue spécialisée dans les sujets qu’elle aborde, mais grand public dans la démarche qu’elle propose. Nous parlons IA, prospective, near future, science-fiction (SF), contre-culture, numérique, GAFAM, art numérique, recommandations littéraires, etc.
FLAASH, C’EST POURQUOI ?
Pour deux communautés : les amoureux de science-fiction et de prospective d’une part, et les curieux des enjeux de demain qui ont envie de pousser la réflexion d’autre part.
Notre volonté est de casser les codes esthétiques, de redonner de la place à l’image, à ceux qui sont peu représentés, mais aussi de challenger les personnalités connues sur des sujets qui changent. Retrouverez ainsi des personnalités grand public, références dans la sphère littéraire ou grandes pointures du monde numérique, mais aussi des figures du milieu de l’imaginaire et des artistes qui s’expriment rarement.
FLAASH, C’EST QUI ?
Estelle Augat et Samuel Dralet, deux associés co-fondateurs issus du secteur de la cybersécurité qui ont mutualisé leur savoir-faire éditorial et leurs compétences techniques pour mener à bien un projet esthétiquement différenciant et solide en termes de contenus.
FLAASH, C’EST COMMENT ?
130 pages imprimées sur du papier de qualité en France pour parler de demain au passé, au présent et au futur, avec deux dossiers principaux (un « Grand angle » portant sur le thème du numéro et combinant des articles de fond et un « FLAASH culture » mettant tous les arts à l’honneur), ainsi qu’une illustration détachable à l’intérieur (celle figurant également sur la couverture) et une double page regroupant l'ensemble des références citées.